Je ne résiste pas au plaisir de mettre sous les yeux de nos camarades la dernière en date du “super-travailleur. Cette publicité est la seule vengeance que je veuille tirer de cette petite ordure, ramassée avec des pincettes par un ami au pied d’un mur, comme il se doit. Voici :
Comme on voit c’est de la belle prose ! Comprenne qui pourra ! Dans ce salmigondis de cosaques et d’Ibérique (sic), de moujiks et de colonels, de Staline et de Miller, de nombril et de Lion Noir, de Pantin, Chalonvillars et Barcelone, un cochon n’y retrouverait pas ses petits. Et par surcroît, camarades, c’est de la prose d’officier de réserve.
Je suppose que, fatigué de ses vingt heures de labeur par jour, (surtout en cette saison) le super travailleur s’est mis à travailler.. du chapeau ! Cela pourrait honorablement figurer dans un recueil d’histoires de fous.
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En tous cas, n’ayant ni dignité, ni temps à perdre pour répondre à de semblables insanités, j’annonce que désormais, je m’abstiendrai d’y faire réponse et une bonne fois pour toute à répéter à ce courageux lâche anonyme que tout le monde connaît mon mépris définitif.
* Cela veut être spirituel et méchant, ce n’est qu’idiot et incompréhensible. Cela sue la haine et la rage impuissante !